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Mollah Morgun présente ses excuses à Sonko: « Celui qui m’a donné la photo m’a menti (…)Je me suis trompé… »

L'ancien rappeur et activiste, Mollah Morgun, établi au Canada a fait son mea culpa. Après avoir publié une supposée photo du leader de Pastef Les Patriotes, il revient pour exprimer ses regrets. Dans une publication sur sa page Facebook, il a révèle avoir été pris au piège avant de présenter ses excuses au leader de Pastef, à ses partisans et à sa famille. Selon l’activiste, il n’aime pas la manipulation et il ne l’accepte pas non plus. « Je demande à Ousmane Sonko de vraiment vouloir m’excuser pour le tort que je lui ai fait subir, sa famille ses amis et ses sympathisants », ajoute-t-il.

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Les étudiants de l’université Cheikh Anta Diop de Dakar prêts pour le « Gatsa-gatsa »

Face à la presse, ce lundi, les étudiants se disent prêts à en découdre avec le régime actuel pour protéger leur leader, Ousmane Sonko. Selon les étudiants patriotes de l’Ucad, Ousmane Sonko n’ira pas répondre à la justice et ils sont prêts à sacrifier leur vie, s’il le faut dans ce combat. « Nous avons fait notre testament et nous sommes prêts ! », scandent-ils Pour eux, contre vents et marées, Ousmane Sonko est leur candidat pour la Présidentielle de 2024.

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Pape Alé Niang explique pourquoi la photo de Mollah Morgun est un montage sur Sonko

Pape Alé Niang, aussi, s’y mêle. Alors que Mollah Morgun a publié une photo d’un homme en caleçon et qu’il présente comme Ousmane Sonko, le journaliste a lui fait appel à un expert en graphisme. Ce dernier a dévoilé, in extenso, les failles qui prouvent qu’il s’agit ici d’un montage.J’ai fait 13 ans de graphisme et à première vue, cette photo a été bien retouchée et manipulée au point que certains détails sautent aux yeux d’un professionnel, ce qui n’est pas évident pour un novice qui ignore tout de l’environnement graphique.

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Violence au Sénégal : Un collectif d’Associations islamiques alerte les Khalifes Généraux

« Notre pays a besoin de discours d’apaisement et de sorties médiatiques n’incitant pas à la division ethnique et religieuse et à l’escalade de la violence », a souligné le collectif dans un communiqué. Lequel collectif sonne l’alerte et lance un appel solennel aux guides religieux (les Khalifes généraux et dirigeants d’organisation islamiques), aux acteurs politiques, à la société civile et aux porteurs de voix à privilégier le dialogue et la concertation, à cultiver l’esprit de dépassement et à promouvoir la paix et la stabilité du pays. Rappelant à chacun sa responsabilité dans la préservation de la paix et de la stabilité sociale, les acteurs du mouvement associatif islamique sénégalais les invite à éteindre les étincelles qui peuvent allumer des foyers de tension.

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Forte présence de la police sur le terrain, conférence de presse Yewwi annulée

Ce lundi, à 16 heures, les membres de la Conférence des leaders de la coalition Yewwi Askan Wi devaient tenir une déclaration de presse. Mais à la dernière minute, les membres de YAW ont annulé leur face-à-face avec la presse, après avoir constaté la présence des forces de l’ordre sur le lieu de la rencontre. Une présence policière a également été notée sur le rond-point de SDE et en face du siège du parti PRP de Déthié Fall, coordonnateur des activités de Yewwi. Le siège de Ousmane Sonko est aussi surveillé par d’autres contingents des éléments de la gendarmerie, stationnés devant l’immeuble.

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Le conseil des ministres délocalisé à Thiès repoussé

La région de Thiès va accueillir le prochain Conseil des ministres décentralisé. Le chef de l’Etat devrait séjourner du 6 au 8 février 2023. Mais, son calendrier a connu un léger réaménagement. Programmé le 6 février à la gouvernance de Thiès, ledit Conseil a été repoussé jusqu’au jeudi 9 février 2022. Le séjour du chef de l’Etat pourrait même, être prolongé de quelques jours. Un changement de date qui s’explique par le déplacement du Président Macky Sall à Abidjan pour les besoins du prix Houphouët Boigny pour la recherche et la paix initiée par l’UNESCO. D’après L’Observateur, Macky Sall doit remettre ledit prix au nom de l’ex Président Abdou Diouf. Cette année, la distinction revient à l’ancienne chancelière Angela Merkel en reconnaissance à l’accueil des refugiés fuyant la guerre en Syrie